En 2018, on change de vie, de carrière, de pays pour certaines (hein Charlène). Alors pourquoi pas pêcheur de langouste en Nouvelle-Zélande. Loin des clichés sur ce pays qui fait rêver, nous voilà sur les traces du « français », dans l’extrême sud du pays en question. Extrême Sud qui correspond à notre extrême Nord, question d’hémisphère, on se comprend. Donc, il y neige beaucoup, il y pleut énormément et on y pêche la langouste dans des conditions extrêmes. Un métier d’hommes (désolé Catherine Poulain), par des autochtones (genre maoris en moon boots). On s’envoie des grandes claques dans le dos, on se transmet les légendes locales, et on évite de tomber dans l’eau (« une main pour le bateau, une pour l’homme »), la belle vie quoi ! Une fois de plus, David Fauquemberg se révèle comme un de nos meilleurs écrivains-voyageurs, et nous emmène dans des contrées inconnues aux mœurs bizarres. Finalement je crois que je vais rester à Lyon…