Après Le linguiste était presque parfait, David Carkeet nous offre le deuxième volet de sa trilogie en gardant son héros recruté par l’agence Pillow.
L’agence Pillow : la solution aux problèmes conjugaux, celle qui sauve les mariages du naufrage.
Sa méthode : utiliser des spécialistes du langage pour réconcilier les couples ou la thérapie conjugale par la linguistique.
Ses armes : Jeremy Cook, le linguiste le plus loufoque qui existe, sa science des mots et sa fine observation de la vie quotidienne des couples.
Sa mission : sauver le couple des Wilson et trouver chez Beth et Dan l’HORREUR qui les déchire.
Un livre aux situations totalement rocambolesques et aux dialogues limite surréalistes. Un livre touchant qui entre dans l’intimité banale d’un couple et qui montre la difficulté de chacun à préserver l’amour et les épreuves quotidiennes du mariage. Un livre drôle et vrai à la fois, qui réserve bien des surprises. En bref un bon moment à passer et qu’on quittera on pensant : Ah je vais faire attention à ce que je dis maintenant.
En bonus l’explication du titre : « Zorba ajouta qu’il avait une femme, des enfants et une maison, décrivant la situation comme une putain de catastrophe ».